La Lune noire
J’ai longtemps hésité à écrire un article sur la Lune noire tant ce sujet est complexe, subtil, scabreux, difficile à saisir clairement ne serait-ce que du fait du tâtonnement historique à préciser sa position astronomique.
En effet la Lune noire a été définie par Dom Néroman en 1937 comme le second foyer de l'orbite lunaire (l'orbite lunaire étant elliptique et non un cercle elle possède deux foyers distincts, le premier étant occupé par la Terre tandis que le second foyer est éloigné d’environ 21 100 km du premier, soit un peu moins que deux fois le diamètre (12 742 km) de la Terre. L’ellipse lunaire est donc en réalité moins étirée et surtout les deux foyers moins éloignés l'un de l'autre que sur le schéma (de wikipédia) ci dessous).
D’autre part le point de l'orbite lunaire le plus éloigné de la Terre (l’apogée) et le second foyer de l'orbite lunaire (la Lune noire) ont la même longitude écliptique vus depuis le centre de la Terre, ces deux points astronomiques sont donc tous les deux considérés le plus souvent indistinctement comme « la Lune noire » par la plupart des astrologues. Or l'apogée est une donnée qui varie en même temps que l'excentricité de l'ellipse de la Lune. Il y a donc en réalité une Lune noire « moyenne » (apogée théorique), une Lune noire « corrigée » mathématiquement pour suivre les variations de l'ellipse lunaire (apogée réelle) et plus récemment (dans les années 1990) une Lune noire « vraie » où l'on tient compte de la latitude du lieu de naissance dans les calculs.
Pour ajouter à la complexité certains astrologues comme Luc Bigé ou Jacqueline Aimé différencient ces trois Lunes noires en leur attribuant des noms et des symbolismes différents : ainsi la Lune noire moyenne devient la « Licorne » et la Lune noire corrigée « Lilith », la Lune noire vraie restant la vraie.
Leur démarche est passionnante mais pour ma part je préfère, à l’instar de l’astrologue Christophe Guillaume, considérer la « zone Lune noire » délimitée par ces trois Lunes noires comme s’il s’agissait d’une orbe large (en général elles sont proches mais peuvent s’éloigner d’une 12aine de degrés pour les Lunes noires moyennes et corrigées, voire plus en incluant la Lune noire vraie).
L’importance du rôle de la Lune noire dans notre vie psychique et notre destinée est illustrée par la durée de son cycle et sa relation particulière avec celle du cycle des Noeuds lunaires. En effet si l’axe des Noeuds lunaires fait un tour complet en 18,6 ans, le cycle de la Lune noire est de près de 9 ans (8 ans et 10 mois environ), soit à peu de choses près un demi-cycle des Noeuds lunaires (ceux-ci sont en opposition lorsque la Lune noire revient sur sa position natale). Lorsque les Noeuds lunaires sont inversés ou reviennent sur leur position natale il se trouve que notre vie peut alors s’en trouver bouleversée ou changer totalement de direction. La Lune noire en revenant elle aussi, au même moment, sur sa position de naissance accompagne donc ce mouvement et prend toute sa part à cette révolution intime.
La Lune noire met en outre environ 9 mois pour traverser un signe touchant ainsi à la symbolique de la gestation et tissant un lien occulte entre la féconde Lune et elle. Mais alors que la Lune (bien aspectée) préside aux grossesses épanouies et aux maternités sereines, la Lune noire s’inscrit en creux, comme le point vide qu’elle occupe au ciel, et si elle s’en mêle de trop près, interdira tout projet d’enfanter.
Tout comme les Noeuds lunaires la Lune noire est un point non matériel de l'espace, un « point fictif » ou plutôt vide qui n’en correspond pas moins à une réalité gravitationnelle puissante, à un point focal d’équilibre indispensable à l’existence et au maintien de l’orbite elliptique Terre-Lune. En cela elle est incontournable n’en déplaise à certains astrologues qui estiment que seuls les objets matériels, les planètes, ont une réalité et sont à prendre en compte.
L'alchimiste et kabbaliste Jean Dubuis nomme ce point immatériel « la Terre invisible » par opposition avec le premier foyer de l'ellipse, qui est la Terre matérielle. D’autres lui confèrent le rôle d'une « anti-Terre » inaccessible aux notions humaines d’expérience conditionnée à la matière, au temps et à l’espace.
Frédéric Muscat nous explique que « quoique le calcul de la Lune Noire ne soit rien d’autre que le calcul d’une absence, compte tenu du fait, qu’il s’agit cependant du calcul d’un des deux foyers de l’ellipse orbitale lunaire, c’est-à-dire d’un point mathématique doué d’une action cosmique importante, le calcul de cette absence permet de situer le lieu d’une présence réelle lorsqu’on la transpose dans le monde des forces invisibles ».
Quant à Georges Ruchet, considérer les planètes (et ici la Lune) sans tenir compte de leur second foyer (voir mon article sur les astres noirs) est aussi absurde que de prendre en considération la Substance sans l'Essence !
Vous l’aurez compris symboliquement la Lune noire est une figure métaphysique, verticale, transcendante et sans concession.
Son symbole représente le croissant de l’âme dominant la croix de la matière (l’incarnation).
Quant à la couleur noire, qui comme chacun sait n’en n’est pas une mais plutôt le résultat de l’absorption de toutes les longueurs d’onde composant le spectre lumineux, le noir donc, en tant qu’absence de lumière, fait peur.
Cependant si on considère le noir comme qualifiant la première des trois phases qui en alchimie permet d’accomplir la transmutation du plomb en or nous accédons alors à la dimension initiatique de la Lune noire. « L'Œuvre au noir » désigne en effet dans les traités alchimiques la phase de séparation et de dissolution de la substance qui était, dit-on, la part la plus difficile du Grand Œuvre et qui peut s'entendre symboliquement comme les épreuves de l'esprit se libérant des routines, des préjugés et des croyances.
La difficulté de l’interprétation de la Lune noire vient de ce qu’elle renvoie à des concepts contradictoires d’absolu et de chute, de pureté et de souillure, d’exigence et de peur, de lucidité et de refus, de grâce et de vide. Elle tire vers le plus pur de soi à travers un chemin d’épreuves de coupures, de pertes, de vertiges, de négations.
En tant qu’apogée de l’orbite lunaire elle semble « vouloir échapper » à l’attraction terrestre et se draper dans une attitude de pure conscience non souillée par les réalités bassement terre à terre.
Luc Bigé nous décrit la Licorne (la Lune noire moyenne pour lui) comme tellement fascinée par son absolu qu’elle voudrait déjà l’avoir atteint, en refusant de passer par des étapes… Son refus d’expérimenter est refus de la banalité, de l’imperfection et de la souillure. Elle est soif d’absolu et de pureté… Le souci est qu’elle considère que sa vérité est La Vérité. Elle pêche par orgueil, celui généré par la conscience d’être une essence.
Liliane Blanchet (une de mes enseignantes) nous disait que la Lune noire (qu’elle nommait invariablement Lilith) garde la nostalgie du paradis perdu, celui d’avant l’incarnation, mais que son « souvenir » n’est qu’une image de ce paradis, SON image, obligatoirement limitée, qu’elle prend pour l’Absolu, pour la Vérité ultime, de là vient son erreur et son intransigeance.
Dans le même ordre d’idée la Lune Noire (surtout la LN moyenne) symbolise pour Catherine Castanier le voile qui obscurcit notre perception de la vie, tandis que Sylvianne Attard en parle comme de la fausse lumière et Frédéric Muscat comme de la lumière froide.
Selon Luc Bigé l’exigence de la Lune noire moyenne (Licorne) est faite de lumière, non d’amour. Et c’est à Lilith (Lune noire corrigée) qu’il attribue le sentiment d’inexistence, les angoisses et les peurs reliées à la chute du paradis originel.
Car considérée comme point vide de l’espace (2ème foyer de l’ellipse lunaire) la Lune noire/Lilith nous parle de notre vide intérieur, du manque essentiel, primordial, lancinant, de notre coupure du monde d’avant la naissance, perte irrémédiable qui nous pousse à la recherche éperdue de Soi ou au pire au refus de s’incarner.
Le poète, philosophe et astrologue Jean Carteret disait de la Lune Noire qu’elle est « la présence de l’absence ».
De nombreux astrologues (tels Joëlle de Gravelaine, Renée Lebeuf, Liliane Blanchet, Marc Bériault…) emploient indifféremment le terme Lune noire ou Lilith pour un même référent symbolique, d’où la cohabitation, comme je l’ai signalé plus haut, de significations ambivalentes convoquant la transcendance et la déchéance, l’ombre et la lumière.
Lilith en effet fait référence à la première femme d’Adam, façonnée avec de la terre en même temps que lui, mais avec de la terre impure d’après les textes kabbalistiques, ce qui expliquerait son caractère démoniaque. Comme elle se querelle avec Adam n'entendant pas se soumettre à lui, elle s'enfuit et refuse de revenir malgré l’appel des anges envoyés à sa recherche par Dieu. Pour la punir, Dieu la condamne à voir tous ses enfants mourir à la naissance. Désespérée, elle décide de se suicider, c’est alors que les anges décident de lui donner le pouvoir de tuer les enfants des Hommes…Ainsi représente t’elle un danger mortel pour les femmes qui accouchent et pour les nouveau-nés.
Sa présence en maison V et mal aspectée par une Lune dissonante se traduit bien souvent par une stérilité, des avortements ou de sérieux problèmes pendant la grossesse ou à l’accouchement.
Dans le Talmud Lilith est décrite comme un démon féminin aux cheveux longs et pourvu d'ailes s’introduisant dans la maison des hommes dormant seuls pour les séduire et vampiriser leur énergie sexuelle. Ainsi la Lune noire/Lilith présente t-elle une connotation sexuelle évidente. Elle symbolise la femme fatale, inaccessible, suscitant fascination, fantasmes, désir et rejet, ambivalente car perverse et frigide, castratrice et initiatrice.
Joëlle de Gravelaine dans son livre « Le Retour de Lilith » l'évoque sous la forme inquiétante d'un "vagin dentelé"…Lilith personnifie encore la femme sauvage, rebelle, la sorcière, mais également une facette de l’Anima (concept jungien) incarnée par la femme et idéalisée ou redoutée par l’homme lorsqu’il la projette sur la femme. Pour les deux sexes, elle figure la part d’Ombre telle que définie par C.G Jung.
Toujours selon la tradition juive, Lilith, punie par la stérilité, pousse Satan, déguisé en serpent, à pervertir Eve en la possédant charnellement. De cette union, naît le premier être humain doté d’un nombril, Caïn, qui commet le premier meurtre sur Terre, en tuant Abel, son propre frère. Ainsi est consommée pour les siècles des siècles la vengeance de Lilith !
Le pouvoir de la Lune noire vient aussi de son mental dénué de sentimentalité, de sa lucidité, c’est « celle qui sait » comme la nomme Bélial (le Mal personnifié dans la tradition juive et chrétienne de l'Antiquité) à cause de sa grande intelligence. D’après Luc Bigé la Licorne aspire au paradis de la connaissance et du savoir pur, son paradis est d’ordre mental. Certains la peignent d’ailleurs avec le sexe au milieu du front à l’image de la corne portée par la Licorne symbolisant sa sexualité toute cérébrale.
On ne peut cerner la Lune noire sans aborder sa dimension karmique.
Sa relation à l’orbite de la Lune (la mémoire, l’inconscient) et aux Noeuds lunaires, en particulier le Nœud Sud qui renferme la trace mémorielle de nos vies passées, en font la détentrice d’une part de notre héritage karmique.
Selon l’astrologue Philippe Regnicoli la Lune Noire représente toujours dans un thème un traumatisme lié au passé, le terme de passé pouvant être considéré au sens karmique (passé d’une vie antérieure) ou au sens classique (à chercher dans la prime enfance). Ce traumatisme n’est pas forcément lié à un drame, car selon la sensibilité de chacun ce qui peut être vécu comme une tragédie pour l’un ne sera qu’un évènement anodin pour l’autre.
Pour Christophe Guillaume la Lune noire est un « point crucial de focalisation de l’énergie karmique » qui en fait « le germe fondamental de l’incarnation ».
Dans son livre « L'Astrologie karmique » Patrick Giani nous explique qu’avec la Lune Noire nous avons accès aux mémoires de la race humaine, aux temps les plus reculés de nos premières incarnations et qu’à partir du moment où nous arrivons à cerner au plus profond de nous la faille, la blessure, et quelquefois la dette, nous pouvons accéder à l'autre dimension de la Lune Noire, qui est l'initiation proprement dite.
Laurence Larzul, elle, cherche à extirper la Lune Noire du carcan de morale catholique qui l’a enfermée dans une vision révolue de la femme. Elle relie la Lune Noire au processus d'individuation dans une optique jungienne des choses et lui assigne un rôle de « défi karmique de transmutation » pour mener l'individu à l’éveil puis la libération.
Pour résumer la pensée de ces astrologues à vision karmique (et d’autres que je n’ai pas cités), la Lune noire est le réceptacle des blessures, des peurs, des traumatismes, des dettes accumulées dans nos vies passées qu’il s’agit de conscientiser et de transmuter pour s’en délivrer et s’éveiller à notre Essence. En cela elle est étroitement liée à la symbolique des Nœuds lunaires (pour faire simple, Nœud Sud = Karma, Noeud Nord = Dharma).
La difficulté sur ce chemin évolutif exigent est que, comme le signale Renée Lebeuf, la plupart du temps, la Lune Noire représente une énergie dont on s’interdit l’accès, autant pour ses qualités que pour ses défauts. Elle représente le monde de notre inconscient, le potentiel non actif que l’on porte en nous, ce que nous avons refoulé de notre mémoire.
C’est peut être pour cette raison que de nombreux astrologues refusent encore d’en tenir compte et que même pour ceux qui veulent s’en approcher elle se voile d’une aura de mystère, d’inaccessibilité, de silence.
Concernant la Lune noire vraie la plupart des astrologues qui assignent des fonctions différentes aux trois Lunes noires, lui octroient le beau rôle. Luc Bigé en fait la meilleure manière de revenir vers cet absolu (Licorne) sans sombrer dans l’océan des illusions généré par Lilith. Ainsi, selon lui, cultiver les qualités du signe, de la maison et du symbole Sabian de la Lune Noire vraie nous protègerait des deux autres Lunes noires.
Selon Catherine Castanier la Lune noire moyenne est la cause de la souffrance, la Lune noire corrigée des effets de la souffrance et la Lune noire Vraie en serait la solution.
Un autre point n’est pas à négliger c’est le point opposé à la Lune noire (en tant qu’apogée lunaire), il s’agit donc du périgée lunaire, dénommé Priape ou « Queue de la lune noire ».
Pour Renée Lebeuf, Priape s’opposant à la Lune Noire suit donc une logique d’antagonisme. Plus l’interdit décrété sur la Lune Noire est catégorique, plus Priape s’affirmera avec force… Les qualités du signe de Priape sont généralement visibles et facilement identifiables, on s’y reconnaît car on s’y sent confortable.
Christophe Guillaume exprime la même idée sous une forme intéressante : l’opposition de Priape à la Lune noire en fait une zone un peu épargnée de son influence directe, une sorte d’oeil du cyclone où l’on peut construire ou rebondir éloigné de son contrôle, on peut y exprimer sa personnalité superficielle en attendant la construction des bases amenées par la Lune noire. Il assigne à Priape, dans sa face faible, la part d’exubérance sociale, les excès, le gaspillage, l’expression de l’animalité, le masochisme, la part terrestre de la relation Lune/Terre, en quelque sorte l’opposé de l’Absolu représenté par la Lune noire.
Pour Georges Ruchet, Priape est de la nature de Dionysos, c’est le Préconscient.
N’oublions pas que dans la mythologie grecque, Priape est un dieu de la fertilité figuré avec le pénis constamment en érection (d’où le priapisme).
Selon Luc Bigé, Priape est un lieu où la personnalité s'y construit contre la peur, grâce à la peur (la peur liée à « Lilith »). Autant la Licorne s’abreuve à la présence Divine, autant Priape est athée, n’ayant d’autre dieu que sa réussite matérielle et sociale.
Frédéric Muscat quant à lui nous dit que si la Lune noire est silence en face Priape est le fruit du silence : Priape renvoie ce silence en parole, en acte, en écrit. Si la Lune noire est limite, Priape est l’illimité, si la Lune noire est fermeture, Priape est ouverture, si la Lune noire est contrôle et maîtrise Priape est abandon aux circonstances.
Certains astrologues (dont Renée Lebeuf et Philippe Regnicoli), outre le point d’opposition à la Lune Noire, Priape, et tenant compte en cela du petit axe de l’ellipse lunaire, étudient les points en carrés à la Lune Noire (ces quatre points déterminent une croix). Ces points jouent des rôles de compensation face à l’inconfort, à la peur, à l’interdit décrété par la Lune noire (point de Négociation ou de Concession au carré croissant) ou fonctionnent sur le mode révolte contre les différents carcans dans lesquels on se retrouve piégé et qui étouffent notre véritable nature (point de Réaction ou de Rébellion au carré décroissant). Je ne les développerai pas plus ici mais vous laisse les découvrir sur leurs excellents sites cités dans la bibliographie en fin d’article.
Pour finir la première partie de cet article j’aimerais revenir sur une observation que j’ai faite à maintes reprises concernant la Lune noire et son « affinité » avec le processus de la mort.
Dans mon article « Que disent les astres de la mort ? » il ressort que, dans les quatre cas étudiés, la Lune noire se trouve en conjonction ou en opposition d'un des deux luminaires du jour du décès.
Comme je le signale en conclusion il faudrait bien entendu poursuivre cette étude sur un grand nombre de thèmes pour que cela ait valeur de statistiques, cependant j’ai remarqué cette position particulière de la Lune noire un grand nombre de fois par la suite.
Pour moi, en tant qu’apogée de l’orbite lunaire elliptique, c’est-à-dire le lieu où la Lune s’éloigne le plus de la Terre et semble vouloir s’échapper, la Lune noire figure la porte de sortie de notre incarnation terrestre.
N’en déduisez cependant pas qu’à chaque fois que cette dernière est en conjonction ou en opposition au Soleil ou à la Lune de votre thème natal vous risquez de trépasser ! Il est cependant fort possible si vous y prêtez attention qu’à ce moment là vous puissiez ressentir une sorte d’aspiration du vide, une lucidité particulière, un vertige d’absolu !
le 19/04/2019
L'article " La Lune Noire à l'Ascendant" est une suite, un complément à celui ci.
Bibliographie :
Schéma des Nœuds lunaires : (schéma : http://www.astrosurf.com/phtranquille/la_lune_993.htm)
Image Lilith entre Adam et Eve –Parvis de Notre Dame de Paris : http://ndparis.free.fr/notredamedeparis/dossiers_photos/lilith/parisnotredame_lilith4.html
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lilith
Renée Lebeuf : https://renee-lebeuf.com/la-lune-noire/
Frédéric Muscat : http://astrologiepassion.blogspot.com/2014/05/la-lune-noire.html
Luc Bigé : http://reenchanterlemonde.com/la-lune-noire-dans-le-theme-de-naissance/
Christophe Guillaume : https://passion-astrologue.com/lilith-lune-noire-en-astrologie/
Philippe Regnicoli : https://www.autourdelalune.com/cours-astrologie/initiation-lune-noire.html
Yanis Azzaro : http://www.yanis-voyance.com/2017/05/qu-est-ce-que-la-lilith-ou-la-lune-noire.html
Laurence Larzul : http://www.lemilieuduciel.com/blog/
« Le Retour de Lilith » de Joëlle de Gravelaine, Editeur L'espace bleu, 1985
« La Lune Noire, Un Monde Interdit » de Jacqueline Aimé, Editions du Rocher,1991
« Diagramme du Septénaire » de Catherine Castanier, Decoopman, 4 tomes, 2010-2014
« L'astrologie karmique » de Patrick Giani, TheBookEdition, 2013
Commentaires (3)
- 1. | 25/07/2019
- 2. | 07/07/2019
Me recommandez-vous ce livre de Daniel Giraud ?
Apporte t'il quelque chose de différent, un autre axe de vision de Lilith ?
- 3. | 07/07/2019
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Date de dernière mise à jour : 01/06/2020